ZephO

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  • en réponse à : Le parapente (hors jours de ball-trap) #366670
    Avatar photoZephO
    Zéphyrien-ne

      Mon vol de ce matin est dans le thème de notre discussion

      Prévisions météo au PDD :
      – vent régulier et assez fort dès le matin
      – développement de thermiques dès 10h, devenant très puissants (trop) vers le midi du soleil (14-15h)
      – développement orageux dans l’après-midi

      Pas très encourageant, mais de mon balcon, je vois le sommet, sans un nuage, et je me dis que faire un tour là-haut n’engage à rien. Le train à crémaillère peut me monter, mais aussi me descendre si je ne vole pas. Et je peux aussi descendre à pied, ce qui constitue une heure de balade juste magnifique.

      Allez hop, matos embarqué dans top-case et valises, direction le PDD, pour une vingtaine de mn de route ensoleillée et déjà chaude.

      Peu de touristes au train à crémaillère de 9h, calme plat sans un souffle sur l’atterro situé à côté de la gare d’embarquement, ça sent le vol de courte durée. Je monte.

      Au sommet, l’ambiance est au vent bien alimenté, contrastant avec le bas. Vent plein Est, venant de l’atterro situé 550 m plus bas et à moins d’un km. La balise indique entre 20 et 22 km/h, ce qui est proche de ma limite pour décoller proprement et en maitrise. Je reste 10 mn à humer l’atmosphère, établissant mon plan de vol en calculant avec de grosses marges, (si le vent forcit à 30, ma voile avancera à 5 km/h /sol, soit 1 m/s. Avec un taux de chute de 2 m/s,, partant de 500m plus haut que l’atterro, cela arrivera juste). Entre moi et l’atterro, il y a un atterro intermédiaire, de secours, qui sera bienvenu le cas échéant, sinon, c’est de la forêt, plus les caténaires du train.  Pas de crocos en vue … J’essaie de jauger les risques que je ne devrais pas pas prendre pour ne pas me mettre en danger.
      Interdit aussi de me faire embarquer sur le côté du PDD dans le venturi (l’air qui s’accélère en contournant le relief rond du PDD), au risque de devoir aller me poser bien loin et peut-être sous le vent, ce qui est source d’un grand danger.

      Le vent est régulier comme annoncé, sans cycles de hausses et sans baisses, c’est comme on dit laminaire. Il sera peut-être possible de tenir en soaring (profiter de l’air qui remonte la pente pour faire des essuie-glaces au dessus du déco), mais pas sûr. J’en suis d’autant moins sûr que je suis le premier sur place. Il va donc m’appartenir de tout peser, sans repères autres que le site que je connais bien, mes connaissances et mon expérience.

      Quelques touristes profitent de l’attraction, mais il ne faut pas que je me disperse, la décision de prendre l’air n’appartient qu’à moi.

      Je sais que la basse couche sera tumultueuse dès le développement des premiers thermiques mal structurés, mais la différence de température entre bas et sommet n’est pas significative pour le moment, donc la masse d’air devrait rester laminaire un bon moment.

      Je n’oublie pas que « 100% des pilotes qui n’ont pas décollé n’ont pas eu d’accident », une vérité qui parait bête à dire, mais tellement essentielle.

      J’ai pris ma décision, je vais voler et je prépare mon matériel selon les rites habituels. Il s’agit d’être sérieux, ce n’est pas en l’air (surtout par vent fort) qu’on doit s’apercevoir d’une suspente emmêlée à sa voisine. Et dans ces phases là, je suis très exigeant avec moi-même, méthodique.

      Le matos est prêt, et le vent ne faiblit pas.

      Si je ne tiens pas immédiatement au relief, je trace direct à l’atterro. Mais si ça tient, c’est super.
      Je monte ma voile et décolle instantanément
      Très vite, je suis 50 m au dessus du déco, ce qui augmente ma marge pour rejoindre l’atterro. Ca commence très bien. J’alterne les allers-retours au dessus du déco, près de l’antenne, sans jamais percer le plafond des 1500m (le déco est à 1440). Je reste ainsi 1h10 entre 30 et 50 m plus haut que mon point de départ, faisant lever les têtes, et je décide de surveiller attentivement les évolutions de l’aérologie (la météo très très locale autour de moi).

      Je teste mon accélérateur qui me permettra de ne pas rester scotché face à un vent qui forcirait de trop, voire de reculer, qui n’est pas une option envisageable, et constater son efficacité bien réelle qui me rassure.

      En dessous, d’autres parapentistes arriveront et décideront de ne pas décoller, hormis un biplaceur professionnel qui fait son boulot (bien) par nécessité. C’est peut-être que le vent a du forcir au sol et que cela devient difficilement gérable pour un parapentiste non aguerri. J’ai donc pour ma part décollé au bon moment et je m’en félicite. Maintenant, vraisemblablement, ce ne serait plus possible. J’augmente d’autant ma vigilance.

      Lorsque les premiers signes d’ascendances ou de descendances se font sentir, la prise de risques devient trop importante pour moi, donc direction le pré de l’atterro accéléré à fond où j’arrive avec 150 m de marge verticale (ouf !), et je pose 13 mn après dans des conditions très instables et inconfortables, mais sur la cible, signe que je m’y suis bien pris.

      Au final, beaucoup de plaisir, et mise en place de techniques que j’utilise peu habituellement.
      Cela me rassure sur certaines capacités d’analyse et de techniques de pilotage, mais me mets aussi en garde : ai-je eu raison de décoller ?

      en réponse à : Comme Zepho m a conseillé #366664
      Avatar photoZephO
      Zéphyrien-ne

        Il se débrouille et moi je l’embrouille, ou le contraire

        en réponse à : Le parapente (hors jours de ball-trap) #366660
        Avatar photoZephO
        Zéphyrien-ne

          Comme je l’ai déjà écrit, mon aile se déplace en consommant 1,3 mètre de verticalité par seconde, ce qui lui permet en air calme de parcourir 10m dans la même seconde.
          Pour me poser plus loin que ce que permet la finesse, il faut donc que je grimpe dans la masse d’air.

          Le calcul est simple, si je trouve une masse d’air ascendante à 2,3 m/s, je gagne donc un m de hauteur sol par seconde. Cela va sans dire si le sol est plat bien sûr.

          Plus je réussis à monter haut, plus je me donne de chance d’aller loin. Les crocos en seront pour leurs frais et devront se contenter de bouffe congelée

          en réponse à : Le parapente (hors jours de ball-trap) #366659
          Avatar photoZephO
          Zéphyrien-ne

            Là où ça devient rigolo, surtout quand on voit des vidéos, c’est quand le vent est supérieur à 35 km/h, et que donc le parapentiste ne peut absolument pas rejoindre son terrain d’atterrissage qui bien sûr, sinon ce ne serait pas rigolo, est situé au vent du parapente. Une situation qui n’est pas enviable, et qui doit absolument être évitée à cause de la rivière aux crocodiles située en dessous.

            Dans la vraie vie, on remplace la rivière au crocos par une forêt bien dense ou un lac ou une ligne à haute tension, on risque donc moins de se faire bouffer.

            en réponse à : Le parapente (hors jours de ball-trap) #366658
            Avatar photoZephO
            Zéphyrien-ne

              Très intéressant tout çà. Question d’un voileux breton : est ce que l’aile se déplace toujours dans le sens du vent ? Est elle capable de remonter au vent notamment dans des courants ascendants ?

              Très intéressante question !

              L’aile se moque du sens du vent, elle fait le job qu’on lui demande, c’est-à-dire voler à 35 km/h.

              Tu peux en déduire qu’en absence de vent météo, la voile se déplace à 35 km/h par rapport au sol dans toutes les directions. C’est ce qu’on appelle le vent relatif.

              Mais si on évolue dans une masse d’air avec un vent météo de 15 km/h, l’aile se déplacera à 50 km/h par rapport au sol lorsqu’elle sera vent arrière, et seulement 20 km/h vent de face. Dans ces deux exemples, elle est toujours à 35 km/h par rapport à la masse d’air.

              Contrairement à un voilier, un parapentiste n’a aucune liaison au sol, (on peut considérer l’eau comme un sol liquide) et ça fait toute la différence.

              Le parapente peut aussi évoluer en dérive, c’est-à-dire vent de travers.

               

               

               

              en réponse à : Le parapente (hors jours de ball-trap) #366656
              Avatar photoZephO
              Zéphyrien-ne

                Quelques photos pour mieux comprendre le matos

                La sellette est fixée aux élévateurs par de solides mousquetons. Résistance 24 Kn, soit 2400 kg chacun

                 

                 

                Les élévateurs au nombre de deux répartissent les forces entre le mousqueton et les suspentes. Résistance 20Kn

                 

                Plus on va vers la voile, plus le suspentage se divise jusqu’à devenir très fin

                Ici, le faisceau intermédiaire

                 

                Ici, la fixation et la couture d’une suspente sur le voile

                 

                Alors, tu as toujours envie de faire du parapente ?

                en réponse à : Comme Zepho m a conseillé #366655
                Avatar photoZephO
                Zéphyrien-ne

                  Il en faut quatre pour maintenir ta plaque de 5 mm sur le porte-paquet fixé à la moto, et quatre autres pour maintenir la platine sur ta plaque de 5 mm. Et si tu en as qui traversent latine, plaque alu et porte-paquets, alors c’est magnifique.

                  On peut donc se contenter de deux boulons courts (plaque et avant du PP), deux boulons longs (platine, plaque et PP), et deux courts (platine et plaque)

                  Ca doit lui changer la vie à ton top-case, il doit avoir moins la tremblote

                  en réponse à : Le parapente (hors jours de ball-trap) #366654
                  Avatar photoZephO
                  Zéphyrien-ne

                    Les performances d’une aile A

                    L’ensemble aile + pilote, en vol en air calme, forme un ensemble rigide qui vole à environ 35 km/h (10m/s)
                    L’ensemble descend dans la masse d’air à environ 1,3m/s, ce qui revient à dire que chaque m parcouru à l’horizontale n’est possible qu’en perdant 13 cm
                    On a l’habitude de dire que le poids, c’est le moteur
                    On peut extrapoler qu’en air calme, partant d’une hauteur de 130 m, on peut en théorie parcourir 1 km.
                    C’est là qu’intervient la notion de finesse (1000/130 = 7,7 de finesse)
                    Si tu as bien tout suivi, combien de temps (en théorie), me faudra t-il pour poser mes gracieuses fesses sur le terrain d’atterrissage ?
                    Calculs :
                    – 1000 m de long en 10m/s de vitesse horizontale = 100s, soit 1mn40s
                    – 130 m d’altitude en 1,3 m/s de vitesse verticale = 100s aussi ! Magnifique et totalement inutile, car le temps, hormis en compétition, on s’en branle les cacahouètes. Si on fait du parapente, ce ne doit pas être dans le stress horaire. On pose quand on pose, et c’est comme ça.

                    La seule chose utile dans cette notion de finesse, c’est de se douter que si l’on doit survoler une ligne à haute tension, un ferme de crocodiles, une forêt, une autoroute et une voie de chemin de fer, vaudrait mieux que l’ensemble ne fasse pas 1000 m de large si on décolle de seulement 130 m.

                    Dans la vraie vie, on prend de la marge, même en air calme, et c’est pas plus con de décoller de 260 m avec un atterro à seulement 500 m. Ca laisse le temps de voir venir.

                    Avec une aile D, qui est une aile de compétition, la finesse se rapproche de 10. Elle permet donc d’aller plus loin, mais vole beaucoup plus vite (plus de 50 km/h), donc on posera sans doute avant la voile A qui aura décollé en premier. Pour le loisir en air calme, qui consiste à rester le plus longtemps possible en l’air, elle n’a donc aucun intérêt.

                    Pas trop fatigué ? Des questions ? Je poursuis ?

                     

                    en réponse à : Le parapente (hors jours de ball-trap) #366653
                    Avatar photoZephO
                    Zéphyrien-ne

                      Et les parapentes alors, on en parle ?

                      Il en existe plusieurs sortes, de toutes les tailles, pour des usages différents ou pour des personnes différentes.

                      En effet, pas question de voler avec quelque chose qui ne convient pas.

                      Mes ailes sont en PTV (Poids Total Volant), homologuées en catégorie A pour une plage de 80 à 105 kg, et cela correspond pour moi à un milieu de fourchette (environ 95 kg avec le matériel de vol, 100 si je monte un saucisson, un Saint-Nectaire et trois litres d’eau pour palier aux besoins élémentaires de sustentation culinaire journaliers)

                      On doit choisir son aile en fonction du PTV, à moins de vouloir une aile qui portera mieux (sous le PTV), mais sera très peu manœuvrante et sensible aux turbulences, ou une aile qui ira plus vite et sera très (trop) sensible au pilotage.
                      En parapente, on peut tenter le diable, certains le font, et quelques uns arrêtent brusquement la pratique, soit sur blessure, soit après une bonne frayeur qui donne à réfléchir.
                      Bref, on ne se casse pas la tête, l’idéal est d’être en milieu de fourchette de PTV, voire dans la moitié haute, et pis c’est tout.

                      Une aile classée en A, c’est une aile auto démerdante, c’est à dire que si on ne la pilote pas, elle vole quand même, en air calme ou en turbulences. Evidemment, étant débutant, j’ai choisi de voler sous une aile A.

                      Moins de performances, ok, mais la seule performance qui vaille la peine, c’est d’atterrir après avoir décollé et rentrer chez soi en bonne forme. Je passerai sous une B (voile loisir d’utilisation régulière) lorsque j’en ressentirai le besoin, c’est à dire lorsque j’aurai le sentiment d’être freiné dans ma progression par ma A d’apprentissage.

                      Donc un parapente, c’est de la toile reliée à une sellette par des suspentes et des élévateurs
                      De haut en bas, (sinon, c’est de la voltige ou que tu fais le poirier), on trouve une sellette dans laquelle le pilote est assis, deux faisceaux d’élévateurs droit et gauche, sur lesquels sont fixés les faisceaux des suspentes, et la voile.

                       

                      en réponse à : Comme Zepho m a conseillé #366650
                      Avatar photoZephO
                      Zéphyrien-ne

                        Vu le titre, j’aimerais bien avoir plus d’explications ou de photos.
                        J’engage ma responsabilité, là, non ?

                        en réponse à : Le parapente (hors jours de ball-trap) #366500
                        Avatar photoZephO
                        Zéphyrien-ne

                          Bah, pour ça Polo, il suffit d’aller voir ma chaîne Youtube

                          en réponse à : Le parapente (hors jours de ball-trap) #366496
                          Avatar photoZephO
                          Zéphyrien-ne

                            Pour exemple mon vol d’hier
                            Temps au beau fixe et un petit 10 km/h de vent avec des rafales régulières, signe que même sans nuages, les thermiques (les courants ascendants), sont bien là, mais plutôt invisibles.
                            Il fait chaud, pas un piaf en l’air pour aider à connaître l’état de la masse d’air

                            J’arrive au déco, quelques ailes plafonnent au niveau de l’antenne du Puy-De-Dôme, signe que les thermiques ne propulsent pas bien haut.

                            Des conditions très bonnes pour moi. L’absence de nuages élimine le risque de se faire aspirer à l’intérieur et dégage la vue sur des dizaines de km. Pas beaucoup de monde en l’air, le risque de collision est très très faible.

                            Je sais que mon expérience et ma voile ne sont pas au niveau de ceux que je vois tournoyer 100 m au dessus de ma tête, j’ai donc peu d’espoir d’y arriver en restant près du relief.
                            Mon plan de vol (il en faut toujours un, plus un plan B), consiste à tester les brises de pente qui remontent le relief, et si ça ne tient pas, à m’éloigner avant de perdre trop d’altitude pour aller chercher un thermique et l’exploiter au mieux afin de garder de la hauteur et faire durer le vol.

                            J’ai un impératif horaire et je sais que le vol ne pourra durer plus de 40 mn. Il est 16h38, je dois être posé près du parking vers 17h15.

                            16h40, je suis déjà descendu de 50 m en tentant de tenir au relief, donc je m’éloigne selon mon plan de vol et je furète en trouvant des petites bulles qui brassent un peu, mais rien de bien probant, puis j’avise un km devant et peut-être 300 m au dessus une voile qui tournoie. je me dirige vers la zone qui, cela tombe bien, est en direction de l’atterro, qu’il ne faut jamais perdre de vue pour pouvoir y rentrer à tout moment. Je serai peut-être posé dans 5 mn.

                            J’ai perdu 200 m d’altitude, l’atterro est 300 m plus bas, lorsque je ressens des turbulences. le vario bip dans le bon sens, j’enroule ce thermique et je m’y prends bien puisque 10 mn plus tard, je suis de retour 70 m au dessus du déco.

                            Là, je navigue en compagnie de plusieurs pilotes chevronnés et l’un d’eux que je connais vient même à côté et me fait un signe du pouce levé comme pour me féliciter. Ma manœuvre n’est pas passée inaperçue et d’ailleurs, d’autres pilotes sont aller chercher l’ascendance que j’ai utilisée.

                            Il est temps de rentrer et 10 mn plus tard, profitant des descendances, je suis au sol en train de plier mon aile.

                            Mon plus beau vol jusqu’à présent, pas le plus long, mais un vol que j’ai maitrisé de bout en bout. Sentiment de plaisir incomparable. Il faudra pour les prochains vols que je me méfie de cette confiance. qui peut mener à faire des erreurs.

                            Se remettre en question, éviter l’euphorie, cela fait partie de la formation

                            en réponse à : LeCiao et sa …… #366494
                            Avatar photoZephO
                            Zéphyrien-ne

                              Très belle moto si l’on aime le rétro !
                              Je ne sais pas si mes essais sont toujours sur ce nouveau forum, mais lors de celui de la Continental GT, j’avais été agréablement surpris par ce moteur très agréable et volontaire.
                              Pour faire une comparaison avec la Bonneville T120, il est plus souple et demande à moins jouer de la boite. Cela est dû à la cylindrée très inférieure. Il est aussi très beau.

                              J’avais été un peu géné par les rondeurs du moteur pile poil sur les genoux, ce n’est peut-être pas le cas de celle-ci, vu la position de conduite différente.

                              Les prestations routières (suspensions et freinages) étaient désastreuses. Je n’imaginais même pas le duo. Le matos de la tienne est différent et améliore je l’espère les choses.
                              A noter que les routes que j’avais empruntées, bosselées et viroleuses et mon style coulé un chouia rapide avaient rapidement mis à mal la moto.

                              Son moteur est parfait tant qu’on reste aux vitesses légales, il est juste très adapté à ce style de motos, et tu n’auras aucun souci à doubler une caisse quand tu le voudras. faudra juste assimiler d’être au bon régime, ni trop haut, ni trop bas.

                              Bel achat ! Mais tu y viendras à la Bonnie, tu verras …

                              en réponse à : LeCiao le retour… #366493
                              Avatar photoZephO
                              Zéphyrien-ne

                                Quelle joie de te retrouver parmi nous !

                                en réponse à : Le parapente (hors jours de ball-trap) #366492
                                Avatar photoZephO
                                Zéphyrien-ne

                                  Oui j’aimerais bien. Comment tu sais qu’il y a une zone ascendante ou descendante ?

                                  Cela se suspecte par l’observation :
                                  – Vol des oiseaux, (plus les rapaces que les martinets)
                                  – Evolutions des autres parapentes
                                  – Connaissance du site
                                  – Nuages
                                  – Reliefs
                                  – Surface du sol
                                  – Ambiance aérologique

                                  Et cela se ressent, on sait quand ça monte, on est soulevé, on pèse dans la sellette et si l’on est près d’un relief, on le voit descendre. On sait aussi quand ça descend, par la diminution du poids apparent dans la sellette. Et pour aider quand c’est peu perceptible, il y a les bips du variomètre

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