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Tu connais son pseudo sur leboncoin? Car j’ai un contact en cours.
Non, pas du tout, mais il t’aurait dit qu’il me connait
Du coup quel couleur les étriers ? Or, gris d’origine, autre ?
Bin j’ai les vacances pour y penser
Ce serait quand même vachement bien que chacun de vous lise les messages précédents pour éviter les questions dont on a des réponses et les réponses qui n’ont rien à voir avec la question.
Donc pour récapituler, j’ai les vacances pour décider de quelle couleur je repeins les étriers si je les repeins, et je crois qu’il n’est pas question de la couleur de la moto.
Chaussez vos lunettes les gars !
Le trop plein est un trop plein, c’est juste un trou situé vers l’orifice de remplissage et qui déverse dans un tuyau qui traverse le réservoir pour déboucher sous la selle, où une durite prend normalement le relais pour amener l’essence sous la moto, hors des pièces chaudes.
Si ce tuyau est percé ou dessoudé, la résine va colmater, mais aussi le boucher, sauf si tu as pris la précaution d’entrer un câble métallique dedans et de lui faire faire quelques va et vient pour qu’il ne se retrouve pas pris par la résine avant séchage. Il faut bien sûr le laisser jusqu’au séchage, en veillant à le bouger de temps en temps
J’ai les vacances pour penser de quelle couleur je vais les repeindre, à moins que je les laisse bruts de pomme.
Dégraissage des étriers de freins. Une heure à l’eau chaude, au tampon Gex et au CIF, avec des gants et une brosse à dents dure.
Avant
Après
C’est intéressant cette histoire de cloche censée à recevoir le jet d’huile et permettre au filtre de baigner dans un flux tranquillisé.
Cela sous-entend que l’arrivée d’huile se fait vers le bas du filtre dans le cas des 550 et les 750, mais plutôt en haut dans le cas des 11.
Je n’avais jamais vu les choses de cette façon, et ma lanterne en ressort éclairée.
Lors de ma prochaine vidange de la 11, je regarderai par où arrive l’huile avec curiosité et un éclairage nouveau.
La différence de forme des cloches est flagrante.
On avance, on avance !
Les selles de moto, comme les sièges des voitures, ont fait d’énormes progrès. Aujourd’hui, on sait faire des mousses fines et confortables. 2 cm peuvent suffire si le cul est bien rembourré et la morphologie adaptée à la position de conduite.
La morphologie de chacun étant différente, chacun aura son ressenti sur le confort d’une selle, qui ira bien à l’un et pas à l’autre.
N’oublions pas qu’une moto doit convenir à tout le monde, et que tout est affaire de compromis.
Personnaliser une moto, ce n’est pas en changer le look pour des raisons esthétiques subjectives, mais adapter objectivement ses éléments à sa conduite, aux fonctionnalités recherchées, à son confort.
Il en va ainsi des suspensions, du guidon, des rétroviseurs, de la selle, de la bagagerie, de la protection, etc …
Il faut commencer par enlever le bouchon et son caoutchouc, en faisant gaffe à tous les petits joints, puis souffler par le trou du trop plein et celui de la mise à l’air libre.
D’ailleurs, n’est-ce pas le même sur les 750 ?
Si le tuyau est poreux, alors, un restomage correctement effectué devrait régler le problème
Pour s’envoyer en l’air, il y a deux solutions, soit faire comme moi et s’initier à grand renfort de cours, en achetant son matos, soit accepter de faire un baptême en biplace
Le biplace, c’est un pilote qui pilote et un passager qui passage gaiement. Et il y a deux manières de faire la chose, soit en louant les services d’un pro (obligatoirement diplomé moniteur d’Etat), soit en se rapprochant d’un club où l’on trouvera quelques pilotes bénévoles et volontaires, tout aussi qualifiés, mais avec un diplôme fédéral.
Le pro, il gagne sa vie, il enchaine les clients en tentant de se reposer sur le lieu du décollage pour gagner du temps, Bonjour, comment tu t’appelles, c’est joli comme prénom, au revoir et merci, comme t’es sympa, je t’offre la vidéo de ton vol … Autant dire que quelquefois, les pros décollent dans des conditions, qui, si elles restent sécuritaires (du moins on l’espère), ne sont pas forcément celles d’un vol serein et sans vomito pour le client.
Le bénévole, lui, voit les choses différemment. Comme tous les biplaceurs, il a aussi investi dans le même matos que le pro, doit le présenter au contrôle tous les ans, mais ne demande en échange du vol que de partager le plaisir d’un moment agréable, bien qu’il a aussi souscrit une assurance pour ses passagers de l’année. Lui n’hésitera pas à prolonger le vol pour se poser à l’atterro officiel, pour prolonger le bonheur non pas de son client, mais de son passager. Il arrive assez souvent que plusieurs volent en même temps pour partager le plaisir en famille. Et bien sûr, comme il se soucie peu de reposer au déco, il est capable de voler en soirée ou tôt le matin, gage souvent de tranquilité aérologique.
Bien évidemment, il ne dira pas non si on lui propose de fêter cela devant un jus de fruitLequel choisir ? Z’attise zeu quetchione !
Bin oui, la panne sèche, évidemment.
Ou alors tu roules sur ON, et quand tu dois passer sur RES, tu fais le plein rapidement. Cela te permet de savoir de combien est réellement ta réserve et s’il convient de paniquer ou pas si la prochaine station est à 50 bornes.
Tout le temps en réserve ? Tu aimes le risque, sauf si ton robinet dysfonctionne
Pour le mano, est-ce que ce n’est pas un fonctionnement normal de passer en réserve lorsque la jauge indique zéro ?
Zéro du mano pour 12 l et ensuite on passe en réserve de 3 l, c’est pas déconnant. L’essentiel, c’est de connaître et bien interpréter les indications du mano.Sur ma 11, j’avais modifié la position de l’aiguille après m’être assuré que le problème ne venait pas de la jauge du réservoir. Aujourd’hui, je passe en réserve au robinet quand le mano entre en zone rouge.
Sinon, la solution mécanique de Brico fonctionne, mais il est peu probable que la tige de la jauge se soit tordue seule enfermée dans le réservoir.
Il est possible si cela passe qu’elle soit montée à l’envers, c’est une autre piste à étudier, ou qu’un précédent proprio l’ait déformée.
