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Bon, l’amortisseur arrière ça n’est pas encore ça, bien chargé pour mon road ds les Alpes, ça tape un peu à l’arrière je vais assouplir d’un demi tour, je pense.
Qu’entends-tu par taper ?
Il faut avant tout régler la précontrainte du ressort, et le manuel t’indique les réglages de base par rapport au poids transporté.Ensuite, si tu trouves que l’amorto résiste trop à l’enfoncement, tu dois assouplir en dévissant l’hydraulique de compression, mais si tu penses que l’amorto ne revient pas assez vite en position d’attente (prêt à absorber un nouveau choc) ou ne plaque pas assez vite la roue dans les trous, alors il faut dévisser l’hydraulique de détente.
Ainsi, en duo, il est nécessaire de précontraindre plus le ressort, mais il n’est pas utile de toucher à l’hydraulique, dont les réglages sont en rapport de ton style de conduite et des routes empruntées.
Avis aux anciens néo-Guzzistes du fofo !
Ayé, j’ai passé les 6213,71 miles (j’aime bien les chiffres ronds), et vu l’usure des pneus Michelin Road Classic, je pense que l’avant va durer 2000 km de plus et l’arrière sans doute un peu plus, je ne serai même pas étonné qu’il fasse le double.
Ces pneus sont remarquables, ils allient tenue de route, look, longévité.
J’ai une grande confiance en eux, jamais une glissouille sur le mouillé, jamais un problème de mise sur la trajectoire, et y a du vrai confort.Devinez par quoi je vais les remplacer !
Bel achat et fais toi plaisir, c’est l’essentiel
Concernant les Road Classic, c’est ce que j’ai sur la T120. Ce sont d’excellents pneus et qui semblent tenir la durée.
Si tu lis ma prose sur la T120 (c’est comme la tienne avec les cylindres correctement positionnés
), tu auras plus d’infos sur ces pneusDans notre monde où l’injection est reine, commandée électroniquement de même que l’allumage, comment se fait-il que Kawasaki garde des vis de réglage d’enrichissement au démarrage et de ralenti à chaud ?
L’électronique est-elle déficiente sur ces points essentiels ?
Pour moi, deux solutions :
1 – Si les normes anti-pollution nécessitent un réglage différent dans chaque pays, Kawasaki a peut-être voulu faire des économies en utilisant un seul boitier électronique, limitant les références, donc les stocks et simplifiant les chaines de montage.
2 – L’électronique de la Z900RS a été empruntée à une autre moto pour des raisons budgétaires, et pour des raisons écologiques, il s’est avéré nécessaire de corriger grâce à des ajustements « mécaniques » bridant les ordres donnés par l’électronique.
Dans les deux cas, tout le monde à mon sens aurait aimé payer 300 balles de plus la moto neuve pour ne pas être emmerdé. Ce n’est que mon avis.
Si c’est pour se retrouver avec une fricassée de rognons blancs dans le slip, jme laisserai peut-être tenter… un été !!
Ca donnera l’occasion et une excuse pour vous voir ! 
Le combo moto-parapente est un vrai bonheur, surtout avec un petit resto dans la foulée
Ça vole toute l’année, Pas de saison privilégiée
Évidemment, en hiver, en slip, c’est chaud, y a risque de gel de coucougnettes
Baptêmes de parapente :
Si vous passez en Auvergne et que cela vous tente, il faut m’en parler
Au sein de mon club, il y a des biplaceurs diplômés, mais non professionnels, qui ne font cela que par plaisir, pour partager leur passion.Ca coûte une quinzaine d’euros le billet pour monter en funiculaire (les plus radins peuvent monter à pied. 550D+ par un chemin facile)
Eventuellement, une petite pièce à la sortie permet au club d’acheter des pommes pour en faire des tartes lors de la fête à Mimi (rien à voir avec Lib56), mais un grand sourire suffit largement à satisfaire le pilote.
Question habillement, c’est mieux que pour la moto, on peut venir en slip sans gants.
Le casque de parapente est fourni
Mais bon, c’est comme pour la bécane, vaut mieux se la péter en s’habillant correctement et chaudement. L’équipement d’un motard est parfait, mais il faudra virer la dorsale qui empêcherait de bien se caler au fond de la sellette, ce qui donnerait la sensation d’être assis sur le bout du fessier au bord d’une balançoire avec quand même un peu de sensations inhabituelles sous les pieds.Et bien sûr, les conditions météo et aérologiques peuvent faire que le vol sera doux et de courte durée, ou bien plus tumultueux et plus long aussi, ou qu’il sera retardé ou annulé.
Le pilote s’adaptera aux conditions et à vos envies.Il faut donc prévoir du temps avec une grosse marge.
Il n’est pas impossible que j’assiste à votre bonheur en volant au même moment.
Alors ? Partant(e) ?
Le rève de tous les parapentistes (et aérostiers et deltistes), même des oiseaux, est de voir cette verrue disparaitre du paysage. C’est un obstacle non négligeable à la pratique du vol libre.
Mais bon, les militaires risquent de ne pas être d’accord, tout comme les téléspectateurs auvergnats qui utilisent encore une antenne rateau (dont je fais partie), sans compter Evelyne Dhéliat et ses collègues de la météo, qui s’en servent effectivement de thermomètre, eux …
Tu peux mettre des bouts de chambre à air découpé à la bonne dimension pour éliminer le jeu. Et en plus ça peut éliminer quelques vibrations (vu que c’est du caoutchouc).
Je pense plutôt à un moyen bien plus radical, genre boulonner la selle à la moto, histoire de ne pas tirer sur les fixations d’origine de la selle
Cher Polo, je pense que les aérostiers préfèrent (et de loin) que je garde mes mains sur les commandes, plutôt que de manipuler un appareil photo. Et comme je n’ai pas d’autre matériel que mon smartphone, ni photo ni vidéo.
Mais tu as de la chance, hier, je n’étais pas seul et certains copains sont équipés.

Petit vol ce soir en compagnie des montgolfières, qui ne sortent qu’en conditions aérologiques calmes. Un vrai bonheur !
Premiers km en situation réelle, avec le top case chargé
Grâce aux 4 cm de hauteur de selle en plus, j’ai la tête en-dehors des remous d’air du pare-brise
Grâce a sa largeur plus faible, poser les pieds au sol est aussi facile qu’avant
Le top case est à un cm du dos, je peux l’oublier ou m’appuyer dessus.
Concernant le shimmy omniprésent et dangereux, il a totalement disparu.
Il y a un truc que je n’avais pas prévu, mais qui finalement est très agréable, c’est que la selle plus haute me permet de serrer le réservoir via les protections en caoutchouc, alors qu’avant, mes cuisses étaient positionnées plus bas. Cela aide au pilotage
C’est donc une réussite totale.
Juste un bémol : comme la platine ne tient que sur la selle et que celle-ci a un peu de jeu sur ses fixations, je dois cogiter un moyen d’y remédier, sinon, je crains que le jeu augmente
Ton rêve est possible, chère sœur Zéphyrette, à 30 mn de chez toi
Pour a peu près 6000 balles, t’as même le droit de prendre les commandes
https://www.adrenactive.com/bapteme-avion-de-chasse-lyon-6406.htm
Fourche ou amortisseur, le réglage le plus important est la précharge du ressort. Les deux doivent être accordés pour que la moto reste droite lorsque le pilote s’assoit sur la selle. Un passager ou un top case implique de précharger plus a l’arrière pour préserver cet équilibre. Le reste, c’est fonction de ton pilotage et de l’état de la route.
Pour plus de confort, tu dois libérer la compression hydraulique. Pour plus de tenue de route, tu dois la freiner. Plus elle est freinée, plus la fourche résistera à l’enfoncement.
Entre les deux extrêmes, c’est un compromis très personnel.
Sur route lisse, tu peux freiner la détente hydraulique pour limiter la vitesse des mouvements verticaux et sur route bosselée au contraire tu dois la libérer pour permettre à la suspension de plaquer les roues au sol malgré les irrégularités de la chaussée.
Le manuel n’est qu’indicatif. Il faut personnaliser.
Et il est judicieux de régler amortisseur et fourche dans la même logique.
Pour le dérouillage, j’ai toujours eu d’excellents résultats avec le kit Restom
Pas besoin d’action mécanique, la chimie fait son œuvre et tu retrouves un bouchon de réservoir, un robinet et une jauge neuve.
Le mode d’emploi est fourni avec le kit.Pour le rinçage c’est pareil. Il faut le faire soigneusement et dans la foulée du dérouillage et bien faire sécher si possible rapidement.
Pour le résinage, laisser le goulot ouvert permet de verser et visualiser l »écoulement de la résine. Comme le goulot est un tube qui déborde dans le réservoir, il n’y a aucun risque de voir la résine sortir par là.
La mise à l’air libre n’a aucune ouverture dans le réservoir, c’est un tube qui se contente de traverser le réservoir, il est inutile de t’en préoccuper.
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