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Sacré boulot, bravo.
Les jantes polies deviennent sympas… j’ai toujours trouvé que, dans leur livrée d’origine, elles étaient franchement dégueu. Les 750 ne méritaient pas ça par rapport aux petites et grandes frangines.
Feelooz, cher cousin de Mandello de Lario,
Alors, quelles nouvelles de cette belle V7 Especial? Ça roule?
Un petit récit bien torché comme tu sais si bien le faire… pleeeze
Petit bilan après le 1er service: opération assez onéreuse d’ailleurs, 411 CHF, faut dire qu’il y a le contrôle des soupapes (donc deux joints), la vidange moteur, 2-3 bricoles, le montage de la centrale (offerte) ET le reset du software qui doit servir à mettre le warning de « zone rouge » à 7000 tours et à dérégler mes préférences (conso en km/l, quelle idée…).
A 1800 kil. et plus, les qualités de l’engin se confirment: tenue de route, freinage, agrément (très maniable à basse vitesse, très légère à mettre sur la centrale). Bon, la selle est confortable mais pas faite pour le duo. Sur Autobahn, l’avant est léger-léger – ma position assez en arrière (1 m. 84 oblige) explique cela.
Le moteur est toujours canon, et même plus maintenant que je peux monter au-dessus de 4800 tours. Avec le mode Sport, ça envoie sérieux. Les Gallois du Lemon Drizzle Gang, sur Youtube, disent que ça devient carrément une autre moto, j’irai pas aussi loin mais on ne s’ennuie pas. Toujours est-il que la conso est passée de 4,5 à 5,1 l.
A bas et moyen régime, le moulin me rappelle celui de ma supermot DR 650 avec son carbu à guillotine et pompe de reprise, en plus vigoureux et avec beaucoup plus d’allonge. Et ce alors que la V7 pèse 60 kg de plus.
Première modif, j’ai posé un mini pare-brise Dart Piranha fumé – très facile à poser (https://dartflyscreens.com/products/moto-guzzi-v7-850?Tint=Translucent%20Black&Screen=Piranha%20S3). L’idée étant de masquer l’horrible compteur. Cas échéant, je pourrai le peindre en gris comme la moto, ou en blanc façon plaque à numéro
J’ai aussi un autre projet pour ce compteur mais j’en parlerai lorsque ce sera plus avancé.
V à tous
Merci pour les infos. Après une honteuse galère pas trop loin du bercail à chercher une adresse dans une zone industrielle – 3 arrêts pour sortir le portable du blouson – j’ai franchi le Rubicon et commandé un support de guidon Quad Lock et une oreillette Sina. Avec Google Map pour les trajets utilitaires et une app pour les belles balades, je devrais mieux me débrouiller… Avant c’était la carte Michelin sur le réservoir, avec arrêts de rigueur.
Fond vert kawa et marquage blanc, non?
Le nombre de membres vraiment actifs devrait donner une idée pour l’ampleur de la commande. Pour le prix, il faudrait réserver la possibilité de payer un peu plus – à titre de don ou pour couvrir le port vers l’estranger (genre Helvétie).
Pour les tee-shirts j’ai trouvé sur le net ce fabricant qui propose des tee-shirts fabriqués et imprimés en France ( j’espère que c’est bien vrai. ) voir :BAGART prix unit: 26€,22 avec l’impression.. Ca fait cher j’en convient et on devrait trouvé bcp moins cher fabriqué en Asie et floqué en France…
Perso, je trouve qu’un T-shirt personnalisé et fabriqué en France à 27 euros, ou 30 ou 44 euros avec une pincée pour le club – c’est aussi le but de l’opération, non? – ça reste très abordable… faut pas se fixer sur les prix Temu ou autre.
Avis aux anciens néo-Guzzistes du fofo ! Ayé, j’ai passé les 6213,71 miles (j’aime bien les chiffres ronds), et vu l’usure des pneus Michelin Road Classic, je pense que l’avant va durer 2000 km de plus et l’arrière sans doute un peu plus, je ne serai même pas étonné qu’il fasse le double. Ces pneus sont remarquables, ils allient tenue de route, look, longévité. J’ai une grande confiance en eux, jamais une glissouille sur le mouillé, jamais un problème de mise sur la trajectoire, et y a du vrai confort.
Merci pour le retour d’info…
Ben pas encourageant, le bilan de Flam avec sa Mandello…
J’espère mieux avec ma V7 qui a un moteur plus qu’éprouvé – et pas trop éprouvant après 1500 kil. abattus en 6 semaines très exactement. Jamais roulé autant à moto et que de la petite route, svp.
Le R-V pour le service fin de rodage est pris mais je peux déjà dresser un premier bilan (avec quelques comparaisons avec la Zephyr qui fait à peu près le même poids et la même puissance (mais 35 ans de différence niveau conception):
Zéro problème – je touche du bois – la moto démarre et tourne comme une horloge.
Défauts: pas beaucoup, à part le compteur LCD dégueu mais lisible et beaucoup d’infos, le feu arrière également moche et pas mal de plastoc… le frein arrière pas terrible (j’aime bien l’utiliser dans certains cas, genre épingle à cheveux serrée à la descente – avec ma MG V7 I, le frein moteur était tel qu’il fallait garder un filet de gaz tout en freinant de l’arrière).
Couci-couça: la moto est très compacte et basse (la hauteur de selle est une obsession des essayeurs et donc des fabricants) et temps d’adaptation nécessaire avec mes 184 cm – finalement je m’asseye assez en arrière, coussinets des pieds sur les cale-pieds qui sont nettement plus bas et en avant que sur la Zephyr – maintenant, je trouve la position assez confortable avec les genoux dans les creux du réservoir – j’ai fait jusqu’à 5 h. de zigouis-zigouis pratiquement d’affilée sans trop fatiguer. Passager-ère assez sacrifié-e (sangle de selle mais pas de barre), mais je roule presque toujours solo. Rien pour les bagages.
Qualités: moteur toujours bien présent (son), coupleux et puissant même au rodage (max. 4800 t.). Bien qu’il soit en Euro 5+, il est vraiment très docile, pas d’à-coups (sauf à froid en-dessous de 2500 t.), le frein moteur n’est pas encombrant comme il l’était sur ma V7 750 I. Bref, pratiquement aussi souple que la Zephyr mais beaucoup plus vigoureux à bas et moyen régimes (+ 100 cc. quand même). Plus haut, faudra voir après le rodage mais ça paraît prometteur. Embrayage doux et prévisible, sélecteur un peu bas (je l’ai remonté d’un cran) mais les vitesses passent bien, à la volée si nécessaire. Le point mort était un peu difficile à trouver au début mais, maintenant, c’est finger in the nose.
Partie cycle: la moto est rigoureuse dans les grandes courbes et maniable dans le serré, elle s’inscrit avec peu d’efforts, nettement moins que la Zephyr. La fourche inversée fait le job (pas encore touché à la précharge) alors que les amortos sont vraiment durs d’origine – je suis passé du réglage usine 3/5 à 2/5 et c’est déjà nettement mieux. Donc pas de Shock Factory pour le moment…
Freinage: Avec les doubles disques de 320 et les pinces 4 pistons monoblocs Brembo à l’avant, ça freine d’enfer mais l’attaque n’est pas violente pour autant – content quand même d’avoir l’ABS et la centrale inertielle. Et le levier est réglable. Entre le freinage dosable et la rigidité du train avant, les entrées de virage sur les freins ne posent pas de problème et la moto ne se désunit pas quand on relâche le levier.
Pneus: les Michelin Road Classic font bien le travail.
Côté pratique: réservoir de 21 litres et conso de 4,5 l. pour le moment, tout est dit… Passager et bagages, voir plus haut!
Esthétique: sur les photos, plein de trucs me gênaient. Finalement, je trouve les clignos très jolis, les rétros en bout de guidon sont très pratiques, ne vibrent pas, les suports en alu sont très élégants, de même que les platines de repose-pieds et le réservoir, long, anguleux, est superbe. Enfin MG a eu le bon goût de choisir une fourche inversée noire et non dorée, qui jurerait sur une moto classique. Quant au phare, il est pas mal et il éclaire. Reste cette horreur d’écran LCD…
Vous l’aurez compris, j’adore cette V7 et pense avoir fait un bon choix avec la version Sport. Je mesure aussi les progrès réalisés par MG depuis la V7 I: 6e vitesse, ABS, gestion moteur, etc. Pour moi, MG n’a cessé de faire évoluer dans le bon sens sa V7. Les puristes diront que les normes ont aseptisé ces motos mais je trouve que cette version Euro 5+ est très réussie et conserve un sacré tempérament.
La Mandello, ça doit être un tout autre folklore… tu nous donneras des nouvelles, hein?
ZephO, je vais retourner voir ton post T120, merci.
Paolo, ici aussi, les concess. sont rares. Une des raisons de l’achat est que l’entretien (une fois la garantie passée) ne me fais pas peur: soupapes encore plus accessibles que sur ma Suz DR650, vidanges finger in the nose, reste à voir pour l’électronique…
Merci André,
Pour les premières impressions, après 400 kil. et en rodage jusqu’à 4500 t/min (plutôt 4000 pour ces premiers tours de roue).
Même à ces régimes, le moteur est très plein – c’est son point fort – et on ne souffre pas trop de l’étroitesse de la bande autorisée vu que la boîte est bien étagée: 2e dans les zigouigouis et zones 30 km/h, 3e en localité 50 kil., 4e en localité 60 km, 5e sur la route et 6e pour un petit bout d’autoroute. Faut juste changer souvent de rapport et bien décomposer pour éviter les « clonks ».
Grâce à la poignée de gaz, à la gestion électronique voire à la centrale inertielle, le moteur est aussi beaucoup plus civilisé qu’autrefois, il tourne plus rond, peu d’à-coups, pas de creux notable entre 2500 et 4000 t/min (dont se plaignaient les proprios des modèles précédents) et pas de réaction sur la tenue de cap en cas de changement de régime en virage. Ça, ça change de la V7 750 de 2014 qui tombait dans les épingles en descente: fallait garder un filet de gaz et maîtriser la vitesse au frein arrière.
Côté chassis, c’est devenu un vélo aussi bien par rapport à mon ancienne V7 que par rapport à la Zephyr: pas d’effort pour l’inscrire en virage et ensuite, elle garde très bien la trajectoire. La fourche inversée y est sûrement pour qqch. Aux allures pratiquées jusque-là, les amortos arrières font aussi bien le job mais la moto est un peu tapecul. Je demande encore à voir avant de toucher aux réglages. Bref, une moto encore plus facile que la Zephyr que je trouvais déjà très docile.
Côté freinage, avec les doubles Brembo radiaux, ça plante bien, au besoin – et content d’avoir l’ABS. Pour le moment, j’ai utilisé seulement le mode « Strada », pas touché encore au « Pioggia » ou « Sport » (j’ai configure l’affichage en italien, molto facile da fare communque). Les pneus Michelin Road Classic (100 x 18 et 150 x 17) semblent convenables.
Pour l’ergonomie: la moto est petite, plus que la Zephyr, avec une selle à 78 cm, dont super bas pour une asperge d’1 m. 84, les repose-pieds sont plus avancés donc j’ai les genoux beaucoup moins repliés. Néanmoins je peux conduire avec les coussinets (derrière les orteils) sur les repose-pieds. Bref, c’est assez reposant. Seul point noir, j’ai les genoux contre les arrêtes, et non dans les creux du réservoir, à moins de me reculer sur la selle jusqu’au rebord, vers la sangle. Mais là, j’ai les bras un peu tendus – faudra peut-être basculer un peu le guidon vers l’arrière.
Côté pratique, c’est service minimum. Espace passager très court, pas de poignée à part la sangle. Emplacement minuscule sous la selle (2 paquets de clopes). Outillage: une clé à ergots et une clé 6-pans Ikea. Pas de crochet pour des bagages… Mais le réservoir est très beau, avec des formes anguleuses comme sur les sportives des années 70, et il contient 21 litres sans en avoir l’air. Conso en rodage: 4,5 l/100.
Et un mot sur les rétros en bout de guidon. Comme Feelooz, ça ne me plaisait pas du tout, je trouvais que ça faisait hipster et j’envisageais de les remplacer. A l’usage, je suis convaincu: ils ne vibrent pas et très bonne visibilité. Comme beaucoup d’autres éléments sur la moto, les tiges sont très soignées et contribuent au coté premium de la marque: toutes les finitions sont top.
Ou une petite cale de bois par ci par là, j’ai toujours trouvé chic le bois sur les motos ….
Surtout la ronce de noyer autour du tableau de bord.
J’ai aussi pensé à un vaporloque – elle avait passé l’après-midi au soleil. Merci pour le tuyau.
Mais revenons à ces attachantes Guzzi et à leurs attrayantes cavalières
Grosse difficulté à démarrer, avec le choke puis sans, sans gaz puis avec un peu, et la batterie qui commençait à faiblir… finalement on s’est mis à deux: j’actionnais le démarreur et donnais un peu de gaz dès que le moteur avait l’air de partir pendant que le camarade mettait un poil de choke. Faut dire que la réunion se déroulait en bas d’un chemin de terre à 10%… on aurait pas été trop de 30 pour remonter le bestiau sur la route.
Ca m’est déjà arrivé par grosse chaleur devant un passage à niveau interminable où j’avais été assez con pour arrêter le moteur: toujours très agréable de voir la mine narquoise des automobilistes bien au frais avec leur clim.
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