Toutes mes réponses sur les forums
-
AuteurRéponses
-
Oh purée, cet été tu es prêt à rouler en short et tee-shirt ! …
Certes non ! Je garde mes protections. Cela n’a rien a voir. Pour faire un parallèle avec la moto, c’est un peu comme démarrer en côte sur un terrain glissant
ZephO sur quoi comme 1300 tu as mis le BT046 ? Je n’aurai pas pensé mettre ça sur une grosse cylindrée. T es sur qu’il est plus maigrichon que le pneu de 140 de la 550 !?
Maintenant que j’y pense, je crois bien que c’était des BT 45 sur ma 1300 Godier-Genoud
Le pneu arrière était en 130
Ma 1300 était en BT46. Ils n’ont jamais failli, mais je n’ai fait que 3500 bornes avec.
Je rappelle qu’elle faisait quand même 330 kg, et que le pneu arrière était plutôt maigrichon. Plus maigrichon d’ailleurs que sur la 550
J’ai refait un vol avant-hier, plus d’un mois sans parapente !
21 km/h de vent d’est qui remonte la pente en accélérant (la balise au sol donnait du 32 km/h)Dans ces conditions où d’habitude j’aurais renoncé, je suis content d’avoir osé gonfler ma voile, car dans la pente et dans du vent fort, on sait que gonfler, c’est décoller immédiatement dans 95 % des cas. L’aile est en charge sans qu’on ait besoin de peser dessus. Si elle est en charge sans action de pilotage, elle vole, le pilote subit le décollage, et doit gérer ses imperfections pour s’éloigner du relief. Faut donc que ça ne gonfle pas de travers, et s’attendre à quitter le sol dans la foulée du gonflage. Il n’y a donc pas de pilotage au sol possible. Ces instants cruciaux où le pilote choisit le cap à prendre en même temps qu’il gère la vitesse et la direction de l’aile pour quiter le sol au moment voulu, ou stopper le décollage, n’existent plus.
Bon, là, ça s’est passé comme prévu, et tant mieux, car il y a une vraie prise de risques, que le pilote accepte ou pas en conscience des conséquences possibles. Donc déco chaud patate et façon chandelle, soit grimpette rapide de 30 m en quasi vertical.
Le reste du vol a été forcément fait de pilotage un peu dynamique, de gestion des directions, des vitesses et des trajectoires des autres pilotes en l’air, pour un posé tout en douceur au bout de 18 mn.Je commence à bien voir les effets bénéfiques du travail que je fais en pente école, ou depuis quelques mois, je bosse par du vent fort. La sécurité passe par la maitrise avant tout de l’aile au sol. Faut lui expliquer qui est le patron, car la bougresse peut se rebeller
Avec du vent à 20 km/h, l’aile volant naturellement à 30/35 environ, les branches effectuées face au vent laissent défiler le sol à allure modique (30-20 = 10 km/h), mais les branches vent de cul sont plus péchues (je te laisse calculer), et le sol défile vite. Il y a de la dérive, de la glisse, du vrai plaisir. Je crois que c’est un chouia addictif, comme le protoxyde d’azote, mais en version bol d’air
1500 €, cela me semble sous estimé. Plutôt 2000 pour avoir l’entretien à jour.
Plus restomage et une belle peinture
Plus encore des bricoles
En effet elle est pas trop cher et à l’air propre. C’est quoi cette durit jaune fluo sur la dépression semble t il ? Original comme couleur.
Sans doute que cela a un rapport avec le problème de carburation …
Nos zephyr sont sensibles du carbu, vaut mieux leur coller les bonnes duritesOn en voit aussi avec des durites transparentes, qui permettent je pense de s’assurer d’un seul coup d’oeil qu’il y a de l’air à l’intérieur
Le pire est quand même lorsqu’elles sont utilisées pour amener le carburant, ça fait joliCela dit, pour celui qui a envie de mettre les mains dedans, elle constitue peut-être une bonne base qui engendrera immanquablement de nombreux frais et quelques heures de boulot.
Ça brille ! Bravo !
Bah, tu t’y connaissais un peu quand même, non ? Nous, on n’a pas fait grand chose d’autre que de valider ou pas tes suggestions.
Bravo et merci de faire vivre le fofo. Prochaine étape : un rasso
Et ne pas oublier que ce qui a vécu bien entretenu est normalement plus beau que le neuf.
C’est valable aussi pour nous, non ?
Ca fait toujours plaisir de voir une moto briller. Merci AndréDamien !
Il faut faire briller ce qui peut briller, et malheureusement, les chromes piqués ne peuvent pas être ramenés à leur état neuf, les trous dans le chrome n’étant plus chromés.
Il faut faire disparaitre d’abord les traces d’hydrocarbures collées au pot (WD40 est plutôt pas mal), puis faire briller (Belgom Chrome est bien), mais il faut éviter l’agression mécanique, donc chiffon doux. La laine d’acier 000 est à proscrire, car elle va microrayer les parties encore brillantes de chrome.Ne jamais oublier que le chrome n’est pas quelque chose de poli, mais une couche déposée chimiquement sur l’acier. Le chrome déteste le savon, notamment.
Je peux renommer un fichier sans problème, exactement la même méthode que sous Windows Le problème c’est que je ne peux pas renommer plusieurs fichiers à la fois, je ne comprends pas comment faire alors que sous Windows c’est très simple
Ayé, j’ai compris le processus via le logiciel disponible avec le clic droit, appelé « renommeur de fichiers »
Un peu moins simple que Windows, quoique, on dit toujours ça quand il faut changer ses habitudesPas besoin donc d’installer d’autres bricoles.
Je te comprends, mais, à part des petites bricoles à régler, un peu comme devrait le faire un mec surformaté aux 4 en ligne s’il devait chevaucher une Thruxton RS, y a rien à dire.
Depuis que j’ai instalé Linux Mint, mon ordi s’allume quand j’appuie sur le bouton, il fonctionne à merveille et il s’éteint quand le le décide. J’étais prêt à la foutre en l’air avant
Le reste est affaire d’habitudes à prendre, mais c’est pas pire que d’essayer de mettre les clignotants dans une BX Digit
Hier samedi, il y avait une possibilité de voler au PDD, entre 13h et 15h. Entendre : vent prévu conforme aux constatations de la balise sommitale autour de 15 km/h avec des pointes à 20. Pour moi, comme pour beaucoup de parapentistes, c’est une sorte de limite, à condition que ce vent soit laminaire, c’est à dire « horizontal », sans perturbations « verticales » (les fameux thermiques), qui rendraient la chose plus compliquée
Donc direction le Panoramic des Dômes, et là-haut, 6°C dans un grand soleil et beaucoup de voiles en l’air, quelques pilotes bien connus parmi elles.
L’observation est de mise, et certains au solse font bien chahuter, trainer, voire décoller et reposer en vrac dans la foulée plus ou moins violemment.
C’est le WE, cela ne fait pas de doute, il y a là ceux qui savent faire – les biplaceurs qui gagnent leur vie, les monos des écoles en récréation avec leurs voiles performantes, plus quelques amateurs aguerris – et la meute de ceux qui bossent en semaine, et n’ont que ce créneau pour s’envoyer en l’air, car demain sera pourri, çà, c’est une certitude qu’on ne volera pas (aujourd’hui donc). Et s’ils ne volent pas, après, c’est rideau pendant 5 jours, forcément, ce qui peut leur donner une très mauvaise raison de décoller au forceps.Et il y a moi, qui ne fait pas partie de la deuxième catégorie, mais pas encore de la première … avec l’envie d’y aller, mais …
– beaucoup de monde qui tient en l’air gràce au vent qui remonte le relief, c’est à dire que ça évolue sur un périmètre restreint, ça se croise, ça fait des huit, c’est un peu l’embouteillage et si j’y étais, ce serait à coup sûr un stress permanent. S’éloigner de ce périmètre, c’est se condamner à devoir aller poser dans les minutes qui suivent.
– au sol, cela a l’air coton, pas beaucoup de réussite, et c’est l’embouteillage aussi.Question plan de vol, c’est pas terrible, le déco est côté ouest, mais l’atterro ouest sera peut-être difficile à atteindre avec le vent de face. Poser avant l’attero, c’est forcément au milieu de la forêt, pas glop ! Il faudra contourner au large le dôme pour rallier l’atterro est, afin éviter de passer sous le vent du Puy, mais l’attero sera inévitablement turbulent. Là aussi, en dessous, c’est de la forêt de résineux, des arbres de 30 m, ça fait pas envie.
En clair, pas sûr que si j’arrive à me mettre en l’air, le vol soit une partie de plaisir.
Il y a des cycles de renforcement et des cycles de baisse, signe d’une certaine présence thermique, et c’est pour cela que le travail au sol est compliqué. Se mettre dans la pente, avec du vent fort, c’est soit monter correctement la voile qui va décoller d’elle-même, et donc se retrouver en l’air dans une masse d’air possiblement hostile, soit se louper et se faire trainer au sol en priant d’arriver à stopper la furie rapidement sans toucher d’obstacle (25 m² de tissu qui tirent, ça ne fait pas semblant de tirer, impossible de résister, il faut savoir déventer la voile). Dans ce cas, le matos peut en prendre un coup, et le bonhomme n’est pas à l’abri d’un petit bobo qui va faire chier quelques jours, genre un poignet retourné, des côtes douloureuses ou un bleu quelque part. Moins drôle, non ? Et puis il y a les touristes qui filment on ne sait pas bien quoi, et qui ne se rendent pas compte qu’ils vont peut-être se prendre 100 kg lancés à 30km/h dans la gueule. Si cela m’arrive, je ne pourrais pas choisir entre un vieux et une poussette, ce sera au petit bonheur la chance.
C’est là que je repense au préceptes de base concernant la sécurité et je décide de ne pas décoller.
Pour autant, je ne renonce pas à ma séance de gonflage-musculation et pour cela, je choisis un terrain un peu à l’écart du monde.
je sais que mon travail au sol (100 heures en deux ans sur pente école), me permet d’envisager de tester la masse d’air sans décoller, normalement sans me faire trainer. Au sol, je maitrise plutôt bien mon aile.
Je vais donc sur un terrain peu pentu bien en retrait de la cassure de la pente, propice aux exercices au sol en vent fort, à l’abri des remontées thermiques, mais en plein vent. Ici, je sais que si j’arrive à me positionner en condition de décollage, je resterai du fait du peu de pente décideur de décoller ou pas. Cela s’est produit et j’ai constaté que je n’arrivai pas à avancer, signe que le vent devait avoir forci encore. J’y suis resté 30 mn, dans mes exercices, avant de replier ma voile dans un creux à l’abri de l’air.
Et je suis redescendu par le train Panoramic.Il y a un an, je n’aurais pas osé faire cela, aujourd’hui, c’est possible et ce matin, je ressens dans mes muscles le travail de la veille.
Je ne me suis pas mis en danger, je n’ai pas mis les autres en danger. Que du positif. Je n’ai pas volé, mais cela n’est pas bien grave. Je me suis adapté aux conditions. La nature a toujours raison, on ne peut contourner ses exigences.Et j’ai un avantage sur les plus jeunes : demain lundi, ça devrait voler, la masse d’air aura affaire à moi. Alors, pas besoin de prendre des risques, il suffit d’attendre le bon jour.
Bien noté
Merci à tous
29 novembre 2025 à 11h13 en réponse à : Pour les petites et les petits, pour passer du Zephyr au grands trail :) #369844
-
AuteurRéponses
