Toutes mes réponses sur les forums
-
Réponses
-
En principe quand la roue libre est naze et que tu tentes de démarrer, ça fait un bruit de crécelle. Sur mon ZRX, j’ai eu des gros « clac » comme un démarreur qui tape. La batterie semblait pourtant bonne. Je l’ai changée et depuis plusieurs mois, plus rien. Bon, il faut savoir que le ZRX ne supporte pas une batterie faiblarde.
Essaye de tapoter sur les cuves avec un manche en bois. Parfois ça suffit pour décoller les pointeaux.
En réponse à fabrice68 (post 91541]Sinon, tu les chauffe un peu avec un décapeur pour assouplir le caoutchouc.”
Ca c’est plutôt pour les manchons qui vont à la boite à air parce que les pipes d’admission, c’est du balèze
Ben oui, sinon tu n’arriveras pas à accéder aux vis des pipes. Pense à mettre les colliers dans le bon sens pour pouvoir accéder à la vis. Les 2 carbus de droite vis vers toi, et pareille à gauche. Cela s’entend qu’il faut passer de l’autre coté de la mob.
En réponse à zkuba (post 90864]J’ai encore tout mal compris. C’est pas un agent secret SPY qui fume un joint !?”
C’est les spy girl :mdr
En réponse à CBX (post 90844]Spy, je ne connais pas , mais spi oui :P Ce type de joint possède une (ou deux) lèvre qui est plaquée sur l’arbre par un ressort pour assurer l’étanchéité : http://fr.wikipedia.org/wiki/Joint_%C3%A0_l%C3%A8vre Ca bosse fort du coté Lyon !!!”
Ben vouii, je sais pas pourquoi j’ai toujours écrit ça avec un Y :contrisEn réponse à briconaute (post 90845]And the winner is… Nobody! Rappel historique : Les Saab étaient depuis 1949 mues par des moteurs trois cylindres deux temps. Le graissage se faisait donc via la pipe d’admission en graissage séparé.Quand ces voitures arrivaient dans des descentes, les conducteurs coupaient les gaz pour décélérer ce qui avait pour conséquence de priver le moteur de carburant …et de graissage!Afin que le moteur ne soit pas entrainé par la boite de vitesse sans être lubrifié, on introduisait donc dans la transmission de boite … une roue libre qui avait pour fonction de désaccoupler la boite du moteur sans mettre au point mort.Le système fonctionnait via un accouplement par masselottes excentriques un peu comme les clavettes sur un lanceur de tondeuse à gazon. En relà¢chant la pression sur la pédale de gaz , le régime moteur baisse et les masselottes rentrent dans leur logement en désaccouplant l’arbre primaire de l’arbre secondaire; dès qu’on ré-accélère les masselottes ressortent et remettent les deux arbres en prise. Quand Saab est passé au quatre temps, ce dispositif ne se justifiait plus, mais les clients Saab étaient tellement habitué à ce système et à l’absence de frein moteur que la roue libre fut conservée jusqu’en 70 sur la Saab 99. Vous pouvez au choix, avant votre départ choisir d’enclencher ou de déconnecter cette roue libre par l’intermédiaire d’une tirette dans l’habitacle . En roue libre, çà change singulièrement les réflexes de conduite, mais c’est çà qui est bien! @Triker : il y avait un système de débrayage de boite sur les DKW mais je ne sais si il était dans la boite ou en sortie de vilebrequin
”Il y avait bien un systeme de roue libre sur ma DKW. C’était d’ailleurs vachement plaisant à utiliser. Mais je ne souvient plus comment c’était fichu comme système. Juste que j’enclenchais une manette et qu’elle sautait dès que je remettais les gaz. Par contre, mon Auto Union était de 1961 et je roulais direct au mélange car il n’y avait pas ce système de graissage séparé Bosch. Il avait été abandonné car il avait tendance à se boucher ce qui provoquait des casse moteur http://www.dkw-elge.com/doc23.htm%5B/url%5D Lubrification moteur Boîte à vitesses Graissage du chà¢ssis La lubrification du moteur 2 temps fait appel à une alimentation continue en huile fraîche qui n’est pas recyclée à l’intérieur du moteur. C’est pourquoi la « vidange » n’existe pas. La méthode traditionnelle est le « mélange » d’huile et d’essence dans une proportion qui peut varier selon les constructeurs entre 1.5% et 5%. Par ce moyen, l’huile est distribuée aux endroits névralgiques, tels que roulements de vilebrequin, bielles et chemise de cylindre. Avantages: – Extrême simplicité puisqu’aucun organe mécanique assure la lubrification du moteur. – Sécurité car on peut imaginer que toute l’huile que l’on aura introduite dans le réservoir finira dans le moteur ! Inconvénients: – Opérations fastidieuses de remplissage du réservoir, en prenant soin de calculer la dose correcte d’huile à ajouter en fonction de la quantité d’essence. – Si le véhicule est arrêté durant des périodes prolongées, l’huile tend à se décanter au fond du réservoir, ce qui rend la remise en route plus délicate, mais surtout plus « enfumée » au niveau de l’échappement. – La quantité d’huile n’est pas toujours adaptée aux conditions de marche momentanées, ce qui se traduit aussi par une fumée excessive. – Risque d’oubli du mélange d’huile par les conducteurs occasionnels. Jusqu’en 1960, les DKW sont lubrifiées par mélange. La proportion de celui-ci baissera à mesure des progrès réalisés dans les huiles, mais aussi dans la construction du moteur. De 1:25 ou 4% pour les premières 3=6, la proportion s’établira à 1:40 ou 2.5% dès l’année modèle 1958. Dans le but d’homogénéiser le mélange huile-essence, on trouve dans le réservoir de ces véhicules le « mixer » mis au point par Shell. Il s’agit d’une sorte de petit réservoir auxiliaire qui recueille l’huile avant que celle ci ne soit chassée par l’essence au travers d’un genre de passoire. Le Shell Mixer . Il est important de respecter l’ordre de remplissage: 1: Huile 2: Essence A partir de 1961, le « Frischà∂lautomatik » ou Lubrimat, autrement dit le graissage séparé par pompe fait son apparition. Il s’agit en fait d’un développement de la firme BOSCH, sur mandat de l’Auto Union qui était à ce moment-là sous contrôle de Mercédès. A cette époque, le graissage séparé est une petite révolution, et comme précurseur dans le domaine, DKW connaîtra quelques difficultés de mise au point. – A basse température, l’huile devient plus visqueuse et ne s’écoule pas normalement dans les conduites. – En voulant supprimer les fumées à l’échappement, le dosage d’huile fut réduit au minimum, ce qui, lié à la remarque ci-dessus, provoqua la destruction de nombreux moteurs. Ci-dessous, la pompe à huile et la canalisation reliée au carburateur. Le débit est réglé par l’ouverture du papillon de carburateur ( tringlerie ) ainsi que par la vitesse de rotation du moteur ( courroie trapézoïdale ). Le réservoir d’huile n’apparait pas sur la photo. Bien que le système Lubrimat fût adaptable aux véhicules plus anciens, sa réputation de mauvaise fiabilité eut l’effet inverse, c’est à dire que de nombreux véhicules en furent démunis et que leur conducteur utilisa le procédé du « mélange ». AUJOURD’HUI, si votre DKW est encore équipée de la pompe à huile, il n’y a pas de raison objective de la démonter. D’une part, ces pompes ont été améliorées et souvent changées à l’époque sous garantie, et d’autre part la qualité des huiles actuelles permet de toutes façons un dosage moindre qu’à l’époque.
Un joint spy, c’est un joint à lèvre avec un ressort à l’intérieur pour assurer la pression.Tout est ICI http://fr.wikipedia.org/wiki/Joint_%C3%A0_l%C3%A8vre%5B/url%5D
En réponse à lasesque (post 90815]En réponse à triker57 (post 90811]Si tu as encore les références de la peinture marron je suis preneur (c’est pour la Simca 8 que je restaure)”
je me renseigne , OK ?”[/i]
Ok, merci. J’aimerai la faire comme celle ci
En réponse à briconaute (post 90823]En réponse à triker57 (post 90791]Y a t il un rapport avec DKW, parce que j’ai eu une 1000 S”
Le rapport c’était le moteur eux temps. Il y avait un rapport avec le principe du moteur deux temps qui a été conservé plus tard quand Saab a monté des V4 Ford 4 temps
”[/i]Oui en effet, les moteurs 2 temps 3 cylindres ont été montés sur les SAAB, mais après, qu’elle est la relation avec le V4 4tps. Je crois qu’il y avait particulièrement un empilage de roulements savament étagés sur le vilebrequin des DKW. Est ce cela ? Sinon, j’ai vu une DKW qui a servi pendant la seconde guerre avec un 6 cylindres 2 temps dont 2 cylindres sont des surpresseurs.
