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En réponse à beurklesharicots (post 151586]pour moi une 500 EN c’était une moto à roues à bà¢tons ?!”
Si mes souvenirs sont bons, les dernières 500 EN étaient très différentes des premières. Roues à rayons au lieu de roues à batons, compteurs classiques, chaine secondaire au lieu de courroie, ligne plus basse, etc … Y a même fort a parier que très peu de pièces sont communes aux deux versions.
En réponse à Stecar (post 151564]En réponse à Ben (post 151537]Tu veux la cote de la largeur dans quel sens ? :side:”
Mesures la largeur de ton support de gauche à droite lorsque tu es derrière . Pas très clair ca. Enfin bref, donnes moi les cotes de ton support stp , que zephyro puisse comparer avec les siens. Merci.”[/i]
Si si c’est clair, tu veux la longueur de la largeur. J’ai bon (de pays) ?
C’est du bobber qui va dépoter, parce que le petit 500 (celui des GPZ) est loin d’être une grosse feignasse. Si tu vas sur le site de la GPZ DreamTeam, tu trouveras des connaisseurs de ce modèle
En réponse à Ben (post 151537]Tu veux la cote de la largeur dans quel sens ? :side:”
Dans le sens de la longueur de la partie large …
Ne risques tu pas de griffer le dosseret avec ton filet ? L’intérêt des crochets d’origine est qu’il sont décalés vers l’extérieur, permettant ainsi de fixer les tendeurs sans risque pour la peinture
23 janvier 2017 à 15h26 en réponse à : C’est du nouveau lourd : un nouveau lourd = 100 anciens lourds #155113… on attend la suite Brico … dis, c’est pas fini, il a d’autres garages Gilbert, hein, dis, Brico …
23 janvier 2017 à 15h21 en réponse à : C’est du nouveau lourd : un nouveau lourd = 100 anciens lourds #155112Ben voilà, j’ai craqué Je voulais pas ouvrir ce post dont le titre est annonciateur de choses qui scotchent, préférant remettre cet instant de découverte à plus tard, pour mieux profiter. Mais voilà que ça s’est emballé, et par peur de ne pas pouvoir faire face à l’abondant roman habituel de Bricocrivain, j’ai commis l’irréparable, j’ai pris connaissance du contenu Bricoromanesque. Comment ne pas s’extasier devant le savoir faire de ce noble artiste qu’est Gilbert ? J’en reste le cul posé sur ma chaise, ne sachant pas si je vais pouvoir le décoller pour rentrer chez moi après ma journée de boulot harassante et énergivore. Une pensée m’est venue immédiatement à l’esprit, celle de ma première (et seule) coque arrière réalisée en martelant de l’alu Fier de mon résultat, après avoir massacré quatre ou cinq tôle achetées à prix d’or, j’avais invité un pote à venir voir la merveille. Lorsqu’il est arrivé, celle-ci était posée par terre à l’envers sur un carton un peu huileux. Son « Tiens, t’as ressorti un vieux bac à vidange ? » en voyant la chose, ne soupçonnant pas un instant qu’il s’agissait de ma création, a mis un terme définitif à mes velléités de continuer mon apprentissage en tôlerie. J’ai par la suite testé ce fameux bac pour recueillir de l’huile, car effectivement, sa forme s’y prêtait plutôt bien, pour m’apercevoir qu’il n’était en fait pas étanche non plus. Bon, à la base, je suis postier, hein, bon, chacun son métier aussi … Je reste admiratif et bouche bée devant le travail de Gilbert, un prince du formage assurément, et passionné aussi. La passion reste le moteur de bien des choses. Merci Brico d’avoir mis ces merveilles sous notre nez.
Pour compléter ce que viennent d’écrire les pointures, tu devrais trouver dans le puits des aiguilles de richesse un ressort, une rondelle métallique et un joint torique. Pièces qui sont parfois manquantes, mais bien nécessaires. Enfin, de ma maigre expérience, c’est comme ça sur les Keihin et les Mikuni que j’ai eu le loisir de nettoyer.
Le risque de la rouille, c’est que des particules de métal oxydé viennent obstruer les gicleurs, notamment celui de ralenti dont le diamètre est tout petit. Comme notre ami nettoie lui-même ses carbus, le risque financier est modéré, voire écarté. Ce serait bien le diable si tous les gicleurs se bouchaient en même temps, empêchant tout démarrage. Tu es sur la bonne voie pour qu’elle soit impeccable, ta zéph’
En réponse à Seb33 (post 151095]Vu le prix du pot il n’y a pas de dilemme du tout !!! Les $ ont parlé !!! Le bras se monte en lieu et place, sans aucunes modifications. Seul l’echappement pose probleme !! Il faudrait un echappement qui soit déja hors cadre au niveau du cale pieds … J’ai un 4/1 Remus qui arrive d’ici, faudra que je l’essaye …”
Ben garde comme ça Le bras de zéphyr avec son joli système de tension excentrique est une belle pièce, ce serait dommage de le remplacer. Ne faudrait-il pas en plus du pot modifier les fixations d’amortisseurs, d’étrier de frein ?
En réponse à Seb33 (post 150949]Bon bah le verdict est tombé et malheureusement confirme la crainte que j’avais …. Le bras du ZRX ne passe pas avec le pot Moriwaki … Je suis un peu deg’, ca aurait fait un joli couple …”
Le pot gène OK, mais le bras pourrait t-il se monter dans le cadre ? La largeur au niveau de l’axe du bras n’est pas plus grande que celui d’origine ?
En réponse à zkuba (post 150875]Pompe à essence nettoyer et remonté. La moto démarre mais ne tiens pas le ralenti.”
Bravo pour le démarrage Ta carburation a sans doute besoin d’être réglée. Bon courage pour le réglage de richesse, faut des doigts de fée sur la Diversion, et pas craindre la chà¢leur sur les mains
En réponse à CBX (post 150628]En réponse à ZephyrOliv (post 150621] Les portées des soupapes viennent au contact de leurs sièges (usinés dans la culasse) ”
Objection : les sièges sont des éléments rapportés sur la culasse. Attention à ne pas vouloir trop en faire : ”[/i]
Précision nécessaire !!! Remplaçons donc le terme usinés par frettés, ce qui ne change rien au principe de rodage. Le siège de soupape est usiné pour s’adapter d’une part à la culasse où il est embouti et d’autre part sur la partie qui nous intéresse, en contact avec la portée de soupapes.
En réponse à harold (post 150618]Question: ça sert à quoi de roder la soupape?”
Le bon fonctionnement d’un moteur 4 temps repose sur une étanchéité parfaite des chambres de combustion, assurée par une fermeture optimale des soupapes et une segmentation en bon état. Les portées des soupapes viennent au contact de leurs sièges (usinés dans la culasse) A la longue, les sièges de soupapes et les portées se calaminent ou se détériorent. Le rodage de chaque soupape sur son siège permet d’éliminer la calamine et de resurfacer les deux parties qui assurent l’étanchéité à ce niveau. Cette opération doit être faite en amont du pastillage, qui est lui essentiel pour régler correctement le fonctionnement de la soupape. Chaque soupape correspond a son siège, pas question de les mélanger. Cette opération te permet aussi de visualiser l’état des têtes de pistons, et éventuellement de déceler des anomalies.
C’est aussi ce que je pensais y a trois semaines …. Et je le pense encore. Mais attention au rodage, c’est une opération délicate, à faire faire par un habitué, ou mieux soi-même, mais en presence de quelqu’un qui te montre comment faire. En réponse à ZephyrOliv (post 148964]Il peut y avoir suffisamment de calamine sur le siège de soupapes pour empêcher la bonne fermeture de celle-ci et dans ce cas, régler le jeu ne sert à rien. Pour en être sûr, rien ne vaut une dépose de la culasse et après examen visuel de l’envers du décor, éventuellement un rodage des soupapes sur leurs sièges, à faire faire par un spécialiste ou quelqu’un de très habitué. Ensuite, tes mesures de jeux seront à refaire, et si ça se trouve, tout sera impeccable sans changer de pastilles. L’opération te coûte un joint de culasse et des joints de queues de soupapes neufs en plus, mais c’est bien mieux et durable qu’un réglage fait sur une culasse calaminée. Il existe aussi des produits qui soit disant nettoient les sièges des soupapes. J’ignore s’ils sont efficaces, mais il aurait fallu faire tourner le moteur avec ces produits longtemps avant le réglage, pour leur laisser le temps d’agir.”
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